Hi
Also wir haben jetzt gerade die Beschreibung von Angela (Erscheinungsbild, Charakter) hinter uns und zur nächsten Stunde sollen wir die Beziehung zwischen Angela und Giuseppe darstellen...Das hab ich jetzt gerade fertig, auch dank der Einträge Aber wir haben allerdings nur bis zur der Stelle gelesen, wo Angela die lachende Frau vor'm Casiono sieht und ihre Tour weiter setzt..Leider hab ich das Buch noch nicht und wir sollen als Hausaufgabe bis S. 11 oder so weiter lesen. Hat jemand vielleicht den Text aufm Computer oder könnte den hier mal reinstellen?
Ps: Falls noch Interesse besteht, könnte ich den Text über A. und G. Beziehung auch gerne reinstellen, aber ka ob der jetzt gut is
Also wir haben jetzt gerade die Beschreibung von Angela (Erscheinungsbild, Charakter) hinter uns und zur nächsten Stunde sollen wir die Beziehung zwischen Angela und Giuseppe darstellen...Das hab ich jetzt gerade fertig, auch dank der Einträge Aber wir haben allerdings nur bis zur der Stelle gelesen, wo Angela die lachende Frau vor'm Casiono sieht und ihre Tour weiter setzt..Leider hab ich das Buch noch nicht und wir sollen als Hausaufgabe bis S. 11 oder so weiter lesen. Hat jemand vielleicht den Text aufm Computer oder könnte den hier mal reinstellen?
Ps: Falls noch Interesse besteht, könnte ich den Text über A. und G. Beziehung auch gerne reinstellen, aber ka ob der jetzt gut is
__________________21.04.2012 - Deutsch check! (war ganz gut)
24.04.2012 - Französisch check! (hm so lala)
03.05.2012 - Englisch check! (ging eigentlich)
09.05.2012 - Religion check! (das war gut!)
15.05.2012 - Bilologie check! (so viel gelernt, aber die aufgabe nich richtig wahrgenommen, scheiße..)
24.04.2012 - Französisch check! (hm so lala)
03.05.2012 - Englisch check! (ging eigentlich)
09.05.2012 - Religion check! (das war gut!)
15.05.2012 - Bilologie check! (so viel gelernt, aber die aufgabe nich richtig wahrgenommen, scheiße..)
Angela di Stefano, la personnage principale de l‘histoire courte „Le chat et le casino“ de Françoise Sagan, a 32 ans et habite à Nice, mais originel elle vient de la Corse où ses ascendances vivent encore. L‘origine méditerranéenne est la raison pour son apparence latine. A propos de son apparence physique il faut ajouter qu‘Angela est une très belle femme, néansmoins elle semble parfois ferme et sévère ce que peut décourager peut-être quelques gens. Depuis le 8 août il y a 10 ans elle est marié à Giuseppe di Stefano et ensemble ils habitent avec son chat Filou dans le 8, rue des Petites-Écuries. Là elle travaille comme femme de foyer. En s‘occupant de tous les affaires de Giuseppe elle se sent responsable pour lui. Mais au contraire elle a peur de perte et ça semble comme si elle n‘a pas beaucoup de confiance de soi.
J***a
ehm. Abiunity Nutzer
02.09.2010 um 18:37 Uhr
- elle a peur de changements/de tournants (elle est trop faible pour commencer une nouvelle vie)
- elle se sent responsable de son mari
- elle considère l'amour plus important que l'argent
- elle ne veut pas se rendre compte que son mari ne l'aime plus (kann nicht wahrhaben, dass ihr Mann sie nicht mehr liebt)
- elle s'occupe du bien-etre des autres
- il y a une dépendence mutuelle: 1. Gisueppe: des raisons pratique
2. Angela: les sentiments
- elle ne reve pas d'argent/de luxe, elle désire sa vie quotidienne
Interpretation des Schlusssatzes : Autor kritisiert Männer, welche sich chauvinistisch verhalten, sie denken, sie hätten ein Recht auf "Abenteuer", wobei doch die Frau in der Geschichte im Kasino das eigentliche Abenteuer erlebt.
--> une histoire feministe, qui encourage les femmes
- elle se sent responsable de son mari
- elle considère l'amour plus important que l'argent
- elle ne veut pas se rendre compte que son mari ne l'aime plus (kann nicht wahrhaben, dass ihr Mann sie nicht mehr liebt)
- elle s'occupe du bien-etre des autres
- il y a une dépendence mutuelle: 1. Gisueppe: des raisons pratique
2. Angela: les sentiments
- elle ne reve pas d'argent/de luxe, elle désire sa vie quotidienne
Interpretation des Schlusssatzes : Autor kritisiert Männer, welche sich chauvinistisch verhalten, sie denken, sie hätten ein Recht auf "Abenteuer", wobei doch die Frau in der Geschichte im Kasino das eigentliche Abenteuer erlebt.
--> une histoire feministe, qui encourage les femmes
J***a
ehm. Abiunity Nutzer
02.09.2010 um 19:37 Uhr
Le lieu : Nice, dans les petites ruelles du vieux Nice
Le temps : Au mois de septembre, un samedi après-midi vers trois heures, c’est la canicule de l’été.
Les personnages :
• Angela di Stefano : 32 ans, une fort belle femme, d’apparence latine et pulpeuse,
d’origine corse ce qui est visible dans ses traits fermes et austères ; très attachée
à son chat Filou qu’elle cherche désespérément en ce moment ; elle est mariée
à :
• Giuseppe qui se moque parfois de sa femme mais juste pour plaisanter et est, au
reste, bon époux, puisqu’il donne à sa femme la totalité de sa paye mensuelle
• Helena : nommée « La belle Helena », une belle femme qui est leur voisine et,
paraît-il, propriétaire d’une maison bordée d’un petit jardin
• Filou : le chat du couple Angela et Giuseppe, a disparu cet après-midi, chose
inhabituelle à cette heure-ci ; car il devrait être revenu à la maison pour manger
et faire la sieste, il aime les chattes du voisinage
L’atmosphère : Il règne une ambiance tout à fait méridionale qu’on peut sentir
de très près :
a) le temps : il fait une chaleur insupportable de sorte qu’Angela doit même se
protéger contre le soleil en se mettant son châle sur la tête. Par cette canicule, la vie dans ce quartier est presque inexistante, personne ne se trouve dehors – ni bêtes ni humains – tout le monde fait la sieste ;
b) l’aspect de la ville : un petit quartier typique du vieux Nice, donc du Midi, où on trouve de petites rues très étroites, de petits balcons et fenêtres où est étendu le linge multicolore ; derrière les maisons, de petits jardins pleins de fleurs et de couleurs
c) les habitudes : Les hommes jouent aux boules dans des squares publics de la ville (comme ici Giuseppe, qui y est parti ce samedi-là, son après-midi libre) ; à midi, en été, la canicule paralyse la vie active, on fait la sieste
Le temps : Au mois de septembre, un samedi après-midi vers trois heures, c’est la canicule de l’été.
Les personnages :
• Angela di Stefano : 32 ans, une fort belle femme, d’apparence latine et pulpeuse,
d’origine corse ce qui est visible dans ses traits fermes et austères ; très attachée
à son chat Filou qu’elle cherche désespérément en ce moment ; elle est mariée
à :
• Giuseppe qui se moque parfois de sa femme mais juste pour plaisanter et est, au
reste, bon époux, puisqu’il donne à sa femme la totalité de sa paye mensuelle
• Helena : nommée « La belle Helena », une belle femme qui est leur voisine et,
paraît-il, propriétaire d’une maison bordée d’un petit jardin
• Filou : le chat du couple Angela et Giuseppe, a disparu cet après-midi, chose
inhabituelle à cette heure-ci ; car il devrait être revenu à la maison pour manger
et faire la sieste, il aime les chattes du voisinage
L’atmosphère : Il règne une ambiance tout à fait méridionale qu’on peut sentir
de très près :
a) le temps : il fait une chaleur insupportable de sorte qu’Angela doit même se
protéger contre le soleil en se mettant son châle sur la tête. Par cette canicule, la vie dans ce quartier est presque inexistante, personne ne se trouve dehors – ni bêtes ni humains – tout le monde fait la sieste ;
b) l’aspect de la ville : un petit quartier typique du vieux Nice, donc du Midi, où on trouve de petites rues très étroites, de petits balcons et fenêtres où est étendu le linge multicolore ; derrière les maisons, de petits jardins pleins de fleurs et de couleurs
c) les habitudes : Les hommes jouent aux boules dans des squares publics de la ville (comme ici Giuseppe, qui y est parti ce samedi-là, son après-midi libre) ; à midi, en été, la canicule paralyse la vie active, on fait la sieste
J***a
ehm. Abiunity Nutzer
02.09.2010 um 19:41 Uhr
Le comportement et l’état-d’âme d’Angela
• Elle agit comme dans un rêve (p. 15, ligne 18 ; p. 16, ligne 26). Cet état somnambule lui confère de la force, de la fermeté et de la sûreté.
• Elle parle d’une voix posée et ferme et agit aussi ainsi (p. 15, ligne 22 ; p. 16, ligne 3 ; p. 16, ligne 16), elle semble être sûre d’elle, est consciente de ce qu’elle fait et est indifférente aux autres, en vérité elle les observe et s’instruit en silence pour agir froidement comme eux, mais elle est complètement crispée et transpire (« la main tellement serrée autour de ses jetons qu’elle sentait la sueur couler…. », p. 15, p. 28, ligne 30). Elle se sent gênée et ne comprend pas très bien ce qui se passe (« …hocha la tête sans répondre, sans comprendre.. », p. 16, ligne 24).
• La chance du débutant la met en extase, lui donne du courage (« … la folle… », p. 16, ligne 29) sous une mine impassible, voire apathique (p. 17, lignes 5-11) ; Tantôt elle se sent bien parce que téléguidée par une force invisible (p. 16, lignes 16,17), qui lui fait oublier son chagrin, tantôt elle se sent mal à l’aise ne comprenant plus rien.
L’enivrement du lieu (milieu) et de l’alcool la fait chanceler un peu, elle doit s’appuyer au bras d’un employé (p. 17, ligne 18 ; 17, page ligne 23). L’argent gagné, le cognac la réchauffant, elle retrouve finalement cette froideur et sûreté extérieures pour quitter ce lieu, la tête haute.
Les réactions de son entourage les autres joueurs semblent être pensifs et fatigués, ne s’intéressant pas à Angela, paralysés par cette grande chaleur, se taisant en plein silence (p. 5, lignes 25-28 ; page 16, lignes 1-2) ; lorsque Angela gagne le jeu à maintes fois, ils sont tirés de leur léthargie, leur curiosité et leur étonnement les font s’approcher d’elle et la regarder (p. 16, lignes 27-2 ; sous l’effet du choc, ils se taisent pour ensuite commencer à murmurer et chuchoter (p. 17, lignes 4-5) le personnel
l’accueille correctement (puisque l’allure et la tenue d’Angela sont onvenables) ; le croupier, habillé en costume noir et cravate, parle et agit d’abord d’une manière lasse (p. 16, ligne 10), puis au cours du jeu, la surprise lui fait hausser le ton ou le fait hésiter (p. 16, ligne 23 ; page 17, ligne 1) ou le rend insatisfait (« …d’une voix moins gaie… », p. 17, ligne 8 ; p. 17, lignes 14-15). L’attitude du personnel envers l’Angela victorieuse est
marquée de politesse et d’amabilité ; on constate toutefois chez eux une nuance servile =et subalterne (p. 17, lignes 14-15 ; p.17, lignes 23-25 ; p. 18, lignes 1-2)
• Elle agit comme dans un rêve (p. 15, ligne 18 ; p. 16, ligne 26). Cet état somnambule lui confère de la force, de la fermeté et de la sûreté.
• Elle parle d’une voix posée et ferme et agit aussi ainsi (p. 15, ligne 22 ; p. 16, ligne 3 ; p. 16, ligne 16), elle semble être sûre d’elle, est consciente de ce qu’elle fait et est indifférente aux autres, en vérité elle les observe et s’instruit en silence pour agir froidement comme eux, mais elle est complètement crispée et transpire (« la main tellement serrée autour de ses jetons qu’elle sentait la sueur couler…. », p. 15, p. 28, ligne 30). Elle se sent gênée et ne comprend pas très bien ce qui se passe (« …hocha la tête sans répondre, sans comprendre.. », p. 16, ligne 24).
• La chance du débutant la met en extase, lui donne du courage (« … la folle… », p. 16, ligne 29) sous une mine impassible, voire apathique (p. 17, lignes 5-11) ; Tantôt elle se sent bien parce que téléguidée par une force invisible (p. 16, lignes 16,17), qui lui fait oublier son chagrin, tantôt elle se sent mal à l’aise ne comprenant plus rien.
L’enivrement du lieu (milieu) et de l’alcool la fait chanceler un peu, elle doit s’appuyer au bras d’un employé (p. 17, ligne 18 ; 17, page ligne 23). L’argent gagné, le cognac la réchauffant, elle retrouve finalement cette froideur et sûreté extérieures pour quitter ce lieu, la tête haute.
Les réactions de son entourage les autres joueurs semblent être pensifs et fatigués, ne s’intéressant pas à Angela, paralysés par cette grande chaleur, se taisant en plein silence (p. 5, lignes 25-28 ; page 16, lignes 1-2) ; lorsque Angela gagne le jeu à maintes fois, ils sont tirés de leur léthargie, leur curiosité et leur étonnement les font s’approcher d’elle et la regarder (p. 16, lignes 27-2 ; sous l’effet du choc, ils se taisent pour ensuite commencer à murmurer et chuchoter (p. 17, lignes 4-5) le personnel
l’accueille correctement (puisque l’allure et la tenue d’Angela sont onvenables) ; le croupier, habillé en costume noir et cravate, parle et agit d’abord d’une manière lasse (p. 16, ligne 10), puis au cours du jeu, la surprise lui fait hausser le ton ou le fait hésiter (p. 16, ligne 23 ; page 17, ligne 1) ou le rend insatisfait (« …d’une voix moins gaie… », p. 17, ligne 8 ; p. 17, lignes 14-15). L’attitude du personnel envers l’Angela victorieuse est
marquée de politesse et d’amabilité ; on constate toutefois chez eux une nuance servile =et subalterne (p. 17, lignes 14-15 ; p.17, lignes 23-25 ; p. 18, lignes 1-2)